PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
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Le Savoir Prismatique
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PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Entre la vie et la mort...
Est-ce ce que je ressens ? Suis-je vivant ? Suis-je mort ? Je regarde autours de moi, mais tout semble si peu réel. Je me sens... moi... Mais je ne suis pas certains... Que tout autours de moi est encore réel. Est-ce que je rêve ? Suis-je... Mort ? Oui... j'ai de vagues souvenirs... je me vois mourrir et... C'est donc ça je suis mort....
Parmis ces pensées chaotiques, l'on ouvre les yeux et l'on vois la sagesse s'élever sans nous. L'on vois le ciel... L'espace... Tout autours de nous, en haut, si haut... Et la sagesse, tout en haut, notre esprit, notre rectitude, qui s'éloigne toujours plus... Plus loins encore... Aurions nous tout perdu ? Devenons-nous... fou ? Le sombre tunnel informatique s'étend encore et encore, de lumières douces il est tout imprégné, et il monte encore et encore, si haut, sans nous... C'est... Irréel...
Mais je vie ...?
Je peux sentir mon corp et même le soulever. J'observe autours de moi et ce que je prennais pour un tunnel de la mort se révèlle être une étrange tour, immense et sans murs, donnant sur l'espace, alors que ce que je croyais être la vie et la réalitée qui s'éloignait (Ou est-ce une sensation véridiquement métaphorique ?), se trouve être, en réalitée, ni plus ni moins... Que le résultat d'une immense plateforme qui déscend, sur laquelle je gîs. Difficillement, je tente de me lever, et ressens que ce qui me sert de sol mouvant n'est ni plus ni moins qu'une immense plaque de métal froide et sinueuse, qui me glace l'échine, alors que je réalise que j'ai récupéré mes sens et que je peux à nouveau sentir le froid. La plateforme métallique déscend, lentement, une sorte d'ascensseur géant qui déscend, lentement, lentement, très lentement, avec tact et grâce... Le décors étoilé défile devant nous, avec pour seul mur de multiples collones informatiques à mille lumières, se tordant dans tout les sens tel des arcs grandiose, et qui s'étendent vers un ciel noirçis impénétrable, lorsque nous levons la tête.
Je peux enfin me mouvoir, et autours de moi, je vois d'autres étranges personnes dans la même position que moi. Qu'est-ce que cela signifis ? Où suis-je et où vais-je ? La réponse...
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Analyse de la situation.
Lorsque Alberich ouvrit avec une lenteur exaspérante ses yeux, c'est la première chose qu'il se dit. Mais c'était par pur réflexe qu'il avait depuis des années. En réalité, il avait l'impression qu'il ne pouvait tout simplement rien analyser. C'était une sensation étrange, la réunification du corps et de l'esprit, le pouvoir de tout entendre, de voir jusqu'au grain de poussière, jusqu'à sentir l'odeur de transpiration des corps voisins. Où était-il ?
Je suis donc mort...
Le constat lui apparut comme une fatalité. Malgré qu'il n'eut pas le temps de savoir où il était, il n'avait même pas remarqué que l'espace défilait devant lui. Mais il savait, un savoir horrible, qu'il était tout simplement mort. Son existence avait été annihilé. Mais comment ? Mais quand ? MAIS OU ?!
Il ne se souvenait juste que de la lumière.
Analyse de la situation. La première chose qu'il constata avec effroi fut qu'il n'avait pas son masque. Où était-il ?! Par terre, voilà, le problème fut réglé... Alberich ne devait montrer son visage à personne. C'était ce qu'on lui avait dit, il s'en souvenait. Il n'était plus un être humain mais une chose brûlée. Rien d'autre.
Il regarda autour de lui. Des formes vagues.
Il se sentait mal. Écrasé par une puissance supérieure. Il put néanmoins commencer à se lever lentement... il se sentait humble.
L'espace.
Les étoiles.
Le vide infini.
Et cette plate-forme qui ne faisait que descendre. Alberich resta un moment coi... il ne se sentait plus exister. Le Cartomancer sortit de sa poche un jeu de tarot... et commença à mélanger les cartes dans un lourd silence. L'absence de son totale.
L'Ermite, arcane numéro 9. Visiblement, les cartes elle-même étaient totalement abasourdies. La solitude... l'impression d'être seul au centre du néant. La réflexion et les études, car des milliers de questions pouvaient se poser. Tout cela était à tel point surréaliste que même les cartes en étaient imprégnés.
Alberich se contenta de rester immobile et d'observer le décor, se posant une multitude de questions qu'il oublia la seconde d'après.
Lorsque Alberich ouvrit avec une lenteur exaspérante ses yeux, c'est la première chose qu'il se dit. Mais c'était par pur réflexe qu'il avait depuis des années. En réalité, il avait l'impression qu'il ne pouvait tout simplement rien analyser. C'était une sensation étrange, la réunification du corps et de l'esprit, le pouvoir de tout entendre, de voir jusqu'au grain de poussière, jusqu'à sentir l'odeur de transpiration des corps voisins. Où était-il ?
Je suis donc mort...
Le constat lui apparut comme une fatalité. Malgré qu'il n'eut pas le temps de savoir où il était, il n'avait même pas remarqué que l'espace défilait devant lui. Mais il savait, un savoir horrible, qu'il était tout simplement mort. Son existence avait été annihilé. Mais comment ? Mais quand ? MAIS OU ?!
Il ne se souvenait juste que de la lumière.
Analyse de la situation. La première chose qu'il constata avec effroi fut qu'il n'avait pas son masque. Où était-il ?! Par terre, voilà, le problème fut réglé... Alberich ne devait montrer son visage à personne. C'était ce qu'on lui avait dit, il s'en souvenait. Il n'était plus un être humain mais une chose brûlée. Rien d'autre.
Il regarda autour de lui. Des formes vagues.
Il se sentait mal. Écrasé par une puissance supérieure. Il put néanmoins commencer à se lever lentement... il se sentait humble.
L'espace.
Les étoiles.
Le vide infini.
Et cette plate-forme qui ne faisait que descendre. Alberich resta un moment coi... il ne se sentait plus exister. Le Cartomancer sortit de sa poche un jeu de tarot... et commença à mélanger les cartes dans un lourd silence. L'absence de son totale.
L'Ermite, arcane numéro 9. Visiblement, les cartes elle-même étaient totalement abasourdies. La solitude... l'impression d'être seul au centre du néant. La réflexion et les études, car des milliers de questions pouvaient se poser. Tout cela était à tel point surréaliste que même les cartes en étaient imprégnés.
Alberich se contenta de rester immobile et d'observer le décor, se posant une multitude de questions qu'il oublia la seconde d'après.
Warp- Messages : 68
Date d'inscription : 28/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
C'était vraiment étrange. Cette sensation et l'impression que tout recule pendant que vous ne vous sentez pas réel, mais pas vraiment irréel non plus. Je ressentais l'impression d'être vivant sans vraiment l'être, mais de ne pas être mort non plus. Après quelques minutes de contemplation du plafond qui s'éloigne, je décidais de bouger, et après quelques efforts, je parvins à me mettre assis. Je me rendis alors compte ...
En réalité, je ne m'éloignais pas de quelque chose, ou du moins pas comme je le pensais, comme si je tombais lentement et m'éloignais de la réalité. J'étais simplement à moitié inconscient sur une plate-forme qui descendait, entouré d'autres personnes qui semblaient être inconscientes ou alors sur le point de se réveiller. Je trouvais cet instant vraiment intriguant. J'étais là, au milieu de personnes que je connaissais pas, sur une plate-forme qui descendait lentement dans un décor semblable à aucune autre chose que je n'aie vu auparavant, même en dehors d'Harmonia ... Ce qui voulait dire que je n'étais plus dans mon monde d'origine, donc ? J'étais ... ailleurs ? Et pourquoi avais-je cette impression d'être mort ou irréel mais pas vraiment ? D'être en dehors de la réalité sans être pour autant irréel ? Quel était cet endroit ... ? Je réfléchissais, sans trouver de réponses.
Le sol était froid. Je me leva alors lentement, vérifiant qu'il ne me manquait rien. Apparemment, mon épée était toujours là. Mais qu'est-ce que je faisais ici, enfin ? Pourquoi ? J'espérais avoir bientôt des réponses à mes questions, tout en observant l'architecture. Vraiment, je n'avais jamais vu cela auparavant ... Cela semblait être fait selon des techniques beaucoup plus avancées que n'importe quel bâtiment que j'avais jamais vu ... Qui avait conçu un tel endroit ? Dans quel but ? Je vis l'ascenseur descendre lentement et quelques personnes commençaient à se réveiller ...
En réalité, je ne m'éloignais pas de quelque chose, ou du moins pas comme je le pensais, comme si je tombais lentement et m'éloignais de la réalité. J'étais simplement à moitié inconscient sur une plate-forme qui descendait, entouré d'autres personnes qui semblaient être inconscientes ou alors sur le point de se réveiller. Je trouvais cet instant vraiment intriguant. J'étais là, au milieu de personnes que je connaissais pas, sur une plate-forme qui descendait lentement dans un décor semblable à aucune autre chose que je n'aie vu auparavant, même en dehors d'Harmonia ... Ce qui voulait dire que je n'étais plus dans mon monde d'origine, donc ? J'étais ... ailleurs ? Et pourquoi avais-je cette impression d'être mort ou irréel mais pas vraiment ? D'être en dehors de la réalité sans être pour autant irréel ? Quel était cet endroit ... ? Je réfléchissais, sans trouver de réponses.
Le sol était froid. Je me leva alors lentement, vérifiant qu'il ne me manquait rien. Apparemment, mon épée était toujours là. Mais qu'est-ce que je faisais ici, enfin ? Pourquoi ? J'espérais avoir bientôt des réponses à mes questions, tout en observant l'architecture. Vraiment, je n'avais jamais vu cela auparavant ... Cela semblait être fait selon des techniques beaucoup plus avancées que n'importe quel bâtiment que j'avais jamais vu ... Qui avait conçu un tel endroit ? Dans quel but ? Je vis l'ascenseur descendre lentement et quelques personnes commençaient à se réveiller ...
Gordon Blake- Messages : 59
Date d'inscription : 28/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
C'est la première fois depuis longtemps que je ressens une sensation agréable. Je ne sais pas où je suis, mais j'aime ce lieu. J'ouvre les yeux lentement. Je sens mon corps bouger, mais je ne bouge pas. Que ce passe t-il ? Où suis-je ? Peut être que je n'aurais jamais de réponse. Je suis peut être morte ? Je ne me rappelle plus de rien. La seule chose que je sais, c'est que je me suis sacrifiée pour eux, pourtant, je ne suis pas morte sur le coup. Quelque chose d'autre à du se passer. Mais suis-je vraiment morte ?
Je lève les yeux. Un long tunnel. Enfin, je ne sais pas vraiment ce que c'est, mais je ne suis jamais venue ici. Je baisse les yeux. Je suis sur une plateforme. Elle est un peu froide. Pourquoi ai-je ressentie une sensation de bien être lorsque je me suis réveillée ? Peut être que je voulais mourir ? Pourquoi aurais-je voulu mourir ? Je ne sais pas. Je ne saurais peut être jamais. J'ai froid. Je me recroqueville, espérant me réchauffer, mais rien n'y fait, j'ai froid.
Peut être qu'en me levant et en marchant, j'aurais moins froid. Je me lève. Il me manque quelque chose. Je ne sais pas ce que c'est, mais je sais que quelque chose auquel je tiens à disparu. En me relevant, j'ai posé la main au sol, et à côté de moi, j'ai senti quelque chose. Je regarde au sol. Un sceptre. Il m'appartient ? Je ne sais pas, mais je le ramasse. S'il était à côté de moi, c'est qu'il est à moi ? Je sens quelque chose sur ma tête. Un chapeau pointue. Pourquoi je porte ça ? Je ne sais pas.
Je regarde autour de moi. Plusieurs personnes sont présentes. Je les fixe en les détaillant. Tous des hommes. Tous un style différents. Tous surpris. Tous étrange. Je ne sais pas ce que je fais avec eux, mais ils doivent être dans la même situation que moi. Sont-ils morts ? Je ne sais pas. Dois-je leur parler ? Peut être n'est ce pas le bon moment. Je ne sais pas que faire. Je suis perdue. Je me rassois, en soupirant. Je vais attendre que l'un d'entre eux vienne me parler.
Je lève les yeux. Un long tunnel. Enfin, je ne sais pas vraiment ce que c'est, mais je ne suis jamais venue ici. Je baisse les yeux. Je suis sur une plateforme. Elle est un peu froide. Pourquoi ai-je ressentie une sensation de bien être lorsque je me suis réveillée ? Peut être que je voulais mourir ? Pourquoi aurais-je voulu mourir ? Je ne sais pas. Je ne saurais peut être jamais. J'ai froid. Je me recroqueville, espérant me réchauffer, mais rien n'y fait, j'ai froid.
Peut être qu'en me levant et en marchant, j'aurais moins froid. Je me lève. Il me manque quelque chose. Je ne sais pas ce que c'est, mais je sais que quelque chose auquel je tiens à disparu. En me relevant, j'ai posé la main au sol, et à côté de moi, j'ai senti quelque chose. Je regarde au sol. Un sceptre. Il m'appartient ? Je ne sais pas, mais je le ramasse. S'il était à côté de moi, c'est qu'il est à moi ? Je sens quelque chose sur ma tête. Un chapeau pointue. Pourquoi je porte ça ? Je ne sais pas.
Je regarde autour de moi. Plusieurs personnes sont présentes. Je les fixe en les détaillant. Tous des hommes. Tous un style différents. Tous surpris. Tous étrange. Je ne sais pas ce que je fais avec eux, mais ils doivent être dans la même situation que moi. Sont-ils morts ? Je ne sais pas. Dois-je leur parler ? Peut être n'est ce pas le bon moment. Je ne sais pas que faire. Je suis perdue. Je me rassois, en soupirant. Je vais attendre que l'un d'entre eux vienne me parler.
Luna- Messages : 54
Date d'inscription : 30/04/2010
Age : 28
Localisation : Argenteuil
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Hero Ike se réveillait sur la planche de métal. Il n'avait pas encore bien saisit où il était, couché de dos, les mains derrière la tête, il observait le décors s'éloigner, ou plutôt défiler. Il ne savait pas trop où il était... il avait un vague souvenir de ... mourrir. Il combattait aux côtés de ses camarades quand soudain, quelques chose est arriver, mai il ne savait pas quoi. Il comprenait que ça ne servait à rien d'y revenir, et voyant qu'il n'y avait rien de plus à faire debout que couché en observant les autres personnes dans la pièce, il réalisait que cet endroit semblait déscendre en permanence, et il s'est dit qu'ils arriveront bien un moment ou un autres au fond du trou et que cela ne servait rien de se pressé, "celui" ou "celle" qui les as ammené ici finirait bien par se montrer.
Les bras derrière la tête, toujours bien couché sur le sol, il hurla de toute ses force :
"HÉHO !!"
Histoire de remuer un peu le silence ambiant.
Les bras derrière la tête, toujours bien couché sur le sol, il hurla de toute ses force :
"HÉHO !!"
Histoire de remuer un peu le silence ambiant.
Hero Ike- – Ne fait plus partie du RP –
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Date d'inscription : 29/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Où je suis? Je fais un rêve? Je suis endormi? C'est agréable comme sensation... Tout semble vide... Je ne devrais pas rester comme ça... Ce n'est pas bien... Je dois rentrer ou on va s'inquiéter pour moi. Je devrais ouvrir les yeux. Il faut que je vois ou je suis. Mais je veux garder les yeux fermer. C'est plus tranquille. Pourtant je dois voir ou je suis si je veux rentrer. Mais je veux rester ici ça a l'air calme. Je suis vraiment égoïste... Ma sœur va s'inquiéter pour moi si je ne rentre pas... Pourquoi je suis ici? Qu'est ce qu'il m'est arrivé? J'avais mal à la poitrine, puis plus rien... Pourquoi? Ou je suis? Je... Je suis mort?
Subaru ouvrit soudainement les yeux. Il ne connaissait pas cet endroit. Il pensait se réveiller normalement dans son lit, mais visiblement ce n'était pas une journée ordinaire... Il n'y aura peut être plus jamais de journées ordinaires... Il contemplait les gens autours de lui en se demandait pourquoi ils étaient là. Était-il toujours en train de rêver? Faisaient-ils parti de son rêve? Il aurait préféré pouvoir refermer les yeux, mais il ne pouvait pas. Cela n'aurait pas été responsable. Il ne pouvait que regarder la réalité et l'assumer...
Subaru ouvrit soudainement les yeux. Il ne connaissait pas cet endroit. Il pensait se réveiller normalement dans son lit, mais visiblement ce n'était pas une journée ordinaire... Il n'y aura peut être plus jamais de journées ordinaires... Il contemplait les gens autours de lui en se demandait pourquoi ils étaient là. Était-il toujours en train de rêver? Faisaient-ils parti de son rêve? Il aurait préféré pouvoir refermer les yeux, mais il ne pouvait pas. Cela n'aurait pas été responsable. Il ne pouvait que regarder la réalité et l'assumer...
Dernière édition par Subaru le Ven 30 Avr - 21:45, édité 1 fois
Subaru- – Ne fait plus partie du RP –
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Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
J'étais toujours assise. Je m'ennuie. Peut être que je ne me souviens de rien, mais j'espère pour moi que je n'étais pas aussi ennuyante que ces personnes. Je crois bien qu'ils étaient tous réveillé. Peut être que certains ne l'étaient pas. Je ne sais pas. Mais je m'ennuyais. Je regardais autour. Aucun d'entre eux n'avaient de réactions spéciales. Ils semblaient tous comprendre ce qui leur arrivait. Nous continuons de descendre. On est bientôt arrivés ? Je ne sais pas.
Un de ces garçons s'est mit à hurler. Enfin quelqu'un qui parle. Il est quand même bizarre. Il n'est plutôt grand. Il a des cheveux bleu hérissé. Il à l'air un peu bête. Je dis ça, mais je suis sûrement bête aussi. Sinon je ne serais pas morte. Enfin, si je suis morte. Je ne comprend pas vraiment ce qui se passe. Mais je m'ennuie, et j'en ai marre de rester assise. Peut être devrais-je aller parler à cet personne qui semble bête ? Il à l'air sympathique.
Je me lève. Ce ne serait pas bizarre d'aller le voir. Après tout, je ne pense pas le connaître. Mais je m'ennuie. Et s'il était méchant ? Et si c'était lui qui nous avait tué et qui nous avait tous amenés ici ? Je devrais avoir plus confiance. Mais je ne le connais pas. Mais j'en ai marre de rien faire. Après tout, s'il essaie de me tuer, ils m'aideront surement ? A moins qu'ils se soient tous alliés, qu'ils m'aient tous tué, et qu'ils m'aient amenés ici pour me tuer. Mais je pense être déjà morte. Puis-je me refaire tuer ? Je préfère les éviter finalement. Je me rassoies. Je m'ennuie toujours.
Un de ces garçons s'est mit à hurler. Enfin quelqu'un qui parle. Il est quand même bizarre. Il n'est plutôt grand. Il a des cheveux bleu hérissé. Il à l'air un peu bête. Je dis ça, mais je suis sûrement bête aussi. Sinon je ne serais pas morte. Enfin, si je suis morte. Je ne comprend pas vraiment ce qui se passe. Mais je m'ennuie, et j'en ai marre de rester assise. Peut être devrais-je aller parler à cet personne qui semble bête ? Il à l'air sympathique.
Je me lève. Ce ne serait pas bizarre d'aller le voir. Après tout, je ne pense pas le connaître. Mais je m'ennuie. Et s'il était méchant ? Et si c'était lui qui nous avait tué et qui nous avait tous amenés ici ? Je devrais avoir plus confiance. Mais je ne le connais pas. Mais j'en ai marre de rien faire. Après tout, s'il essaie de me tuer, ils m'aideront surement ? A moins qu'ils se soient tous alliés, qu'ils m'aient tous tué, et qu'ils m'aient amenés ici pour me tuer. Mais je pense être déjà morte. Puis-je me refaire tuer ? Je préfère les éviter finalement. Je me rassoies. Je m'ennuie toujours.
Luna- Messages : 54
Date d'inscription : 30/04/2010
Age : 28
Localisation : Argenteuil
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Les autres individus commençaient à se lever.
Dans le cadre de son analyse du terrain, Alberich se retourna vers eux, c'était une drôle de sensation que de voir des individus ayant... l'air normal. Une jeune fille au chapeau pointu. Un être dynamique aux cheveux bleus qui hurlait fort. Un homme âgé calme et réfléchi. Un androgyne aux cheveux noirs... et il semblerait qu'il en reste encore deux en suspens, encore effondrés sur le sol.
Ils étaient tous dans un état de psychose ambiant. Personne n'osait se parler, malgré le hurlement du jeune aux cheveux bleus.
Le Cartomancer s'assit par terre en silence et réfléchit. S'ils étaient tous là, c'est qu'ils devaient avoir quelque chose en commun.
Mais quoi ? Étaient-ils ceux qui allaient comparaître devant le tribunal céleste, le jugement dernier ? A ce moment, l'image d'un verre brisé apparut dans l'esprit d'Alberich, sans trop vraiment savoir pourquoi. Qu'importe. Il devait prendre une action par rapport à ces individus.
Les cartes de son deck de Tarot se mirent à flotter dans les airs et à se mélanger en cercle, lentement. De cette étrange formule sortit une seule et unique carte qui resta en lévitation tandis que le reste revint sous la forme d'un tas.
Arcane 3, l'Impératrice. Des nouvelles... le mouvement, la relation. Quelque chose en rapport avec le contact. Les cartes avaient parlés : Alberich devrait parler. Et contacter ces nouveaux.
Il se leva et se mit à marcher lentement, le regard vide.
"Bonjour ? Quelqu'un peut-il et veut-il parler ?"
Dans le cadre de son analyse du terrain, Alberich se retourna vers eux, c'était une drôle de sensation que de voir des individus ayant... l'air normal. Une jeune fille au chapeau pointu. Un être dynamique aux cheveux bleus qui hurlait fort. Un homme âgé calme et réfléchi. Un androgyne aux cheveux noirs... et il semblerait qu'il en reste encore deux en suspens, encore effondrés sur le sol.
Ils étaient tous dans un état de psychose ambiant. Personne n'osait se parler, malgré le hurlement du jeune aux cheveux bleus.
Le Cartomancer s'assit par terre en silence et réfléchit. S'ils étaient tous là, c'est qu'ils devaient avoir quelque chose en commun.
Mais quoi ? Étaient-ils ceux qui allaient comparaître devant le tribunal céleste, le jugement dernier ? A ce moment, l'image d'un verre brisé apparut dans l'esprit d'Alberich, sans trop vraiment savoir pourquoi. Qu'importe. Il devait prendre une action par rapport à ces individus.
Les cartes de son deck de Tarot se mirent à flotter dans les airs et à se mélanger en cercle, lentement. De cette étrange formule sortit une seule et unique carte qui resta en lévitation tandis que le reste revint sous la forme d'un tas.
Arcane 3, l'Impératrice. Des nouvelles... le mouvement, la relation. Quelque chose en rapport avec le contact. Les cartes avaient parlés : Alberich devrait parler. Et contacter ces nouveaux.
Il se leva et se mit à marcher lentement, le regard vide.
"Bonjour ? Quelqu'un peut-il et veut-il parler ?"
Warp- Messages : 68
Date d'inscription : 28/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
<<Ohh.... Comme je suis bien comme ça.. J'espère ne jamais me relever et dormir ici. Après tout, je suis vraiment bien. Hmmm... En fait il fait froid. Au juste... pourquoi je suis là ?>> Une réaction très appropriée pour un mort. Rester couché sur le sol. C'est un peu ironique. À ce moment même, Schiffer se rappela les derniers instants de sa vie. Il était sorti du dojo et une ombre furtive avait bondi sur lui. Encore l'ironie du sort, l'assassin assassiné en pleine surprise.
Schiffer ouvrit les yeux, il avait terriblement mal au cou. Sa bouche voulu lancer un juron, mais sa gorge irritée n'émit pas le moindre murmure. En même temps, ça l'aidait à faire une bonne première impression.
Le jeune homme força un peu et réussit à s'assoir. Il semblait être un peu à l'écart des autres. Mais... quels autres ? Était-ce d'autres mort ? Il y avait une rigolote petite fille, un rigolo qui hurlait, un autre rigolo masqué, deux autres rigolos, d'autres rigolos qui semblaient être inconscients. Ça en faisait beaucoup.
Et si c'était des ennemis ? Schiffer posa une main sur une de ses dague, sous son aisselle droite, l'autre sur... un nodachi décoratif, attaché à sa taille. Très utile.
Il se leva tout de même, sans brandir une arme qui de toute façon ne serait pas utile. Il se racla la gorge et entreprit, avec difficulté, la phrase la plus naturelle possible, dans un contexte pas naturel du tout...
<<Heu... Salut..? >>
Schiffer ouvrit les yeux, il avait terriblement mal au cou. Sa bouche voulu lancer un juron, mais sa gorge irritée n'émit pas le moindre murmure. En même temps, ça l'aidait à faire une bonne première impression.
Le jeune homme força un peu et réussit à s'assoir. Il semblait être un peu à l'écart des autres. Mais... quels autres ? Était-ce d'autres mort ? Il y avait une rigolote petite fille, un rigolo qui hurlait, un autre rigolo masqué, deux autres rigolos, d'autres rigolos qui semblaient être inconscients. Ça en faisait beaucoup.
Et si c'était des ennemis ? Schiffer posa une main sur une de ses dague, sous son aisselle droite, l'autre sur... un nodachi décoratif, attaché à sa taille. Très utile.
Il se leva tout de même, sans brandir une arme qui de toute façon ne serait pas utile. Il se racla la gorge et entreprit, avec difficulté, la phrase la plus naturelle possible, dans un contexte pas naturel du tout...
<<Heu... Salut..? >>
Schiffer- Messages : 76
Date d'inscription : 28/04/2010
Age : 29
Localisation : Québec
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Je vis alors quelques personnes se réveiller, se mouvoir, s'asseoir ... Un jeune aux cheveux bleus venait d'hurler 30 secondes après s'être réveillé, en restant couché sur le dos. Une jeune fille avec un chapeau pointu se réveilla, se leva puis se rassit, ce qui me fit penser qu'elle avait hésité à nous parler. Un jeune homme armé de dagues se réveilla et tenta de nous parler. Un jeune homme à l'air androgyne était resté sur le sol mais avait ouvert les yeux en nous observant l'air étonné. Et enfin, je vis un homme vêtu d'un masque tout en observant des cartes plus que le reste, puis après en avoir tiré et observé une, nous parla à son tour. Apparemment, tout le monde était réveillé.
L'ascenseur continuait sa lente descente et l'atmosphère était toujours aussi intrigante. Je continuais à observer la scène, peut-être que les quelques personnes présentes ici avaient des idées de ce qu'il s'était passé, de pourquoi nous étions là ... Mais à en juger par leurs réactions, ça n'était pas le cas. Ils semblaient être tout aussi intrigués que je ne l'étais. Je ne me décida néanmoins pas à répondre. Je continuais d'observer la scène, en écoutant les discussions pour voir si quelqu'un avait quand même une idée de où ils se trouvaient et de ce qu'il se passait. J'en doutais et je n'écoutais donc qu'à moitié, en regardant le plafond s'éloigner de plus en plus. Depuis combien de temps étions-nous dans cet ascenseur ?
L'ascenseur continuait sa lente descente et l'atmosphère était toujours aussi intrigante. Je continuais à observer la scène, peut-être que les quelques personnes présentes ici avaient des idées de ce qu'il s'était passé, de pourquoi nous étions là ... Mais à en juger par leurs réactions, ça n'était pas le cas. Ils semblaient être tout aussi intrigués que je ne l'étais. Je ne me décida néanmoins pas à répondre. Je continuais d'observer la scène, en écoutant les discussions pour voir si quelqu'un avait quand même une idée de où ils se trouvaient et de ce qu'il se passait. J'en doutais et je n'écoutais donc qu'à moitié, en regardant le plafond s'éloigner de plus en plus. Depuis combien de temps étions-nous dans cet ascenseur ?
Gordon Blake- Messages : 59
Date d'inscription : 28/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Ah, que c'était bon...
Tout semblait si simple. Il était marié, il avait des gosses qu'il tyrannisait à loisir, et une femme aimante qui ne l'énervait que quand il abusait avec les marmots, et il devait bien reconnaitre qu'il abusait souvent. La ferme marchait plutôt bien, même si leur principales sources de revenu restaient l'arène. L'arène ou prouvait chaque jours, avec ses enfants, que la magie l'emportait sur la technologie. Que tout ces gadgets étaient réservés aux nazes trop mauvais pour s'en sortir sans autre chose. Lui ne comptait pas sur des engins avec des batteries, mais sur lui même.
Tout le monde le reconnaissait. Il était le combattant reconnu comme le plus puissant de tous, toute catégorie. Et son puissance lui apportait le pouvoir. Il avait droit de vie et de mort sur quiconque s'aventurait sur sa propriété. Et l'arène lui rapportait des sommes colossale. Il avait tout, la gloire, le pouvoir, l'amour, l'argent. Ah, que la vie était belle, ainsi.
"HÉHO !!"
"Quéquecéquekoi??"
Il avait été réveillé en sursaut par quelque chose qui n'était pas l'habituel chant du coq. Plutôt une espèce de cri violent qui l'avait tiré du sommeil avec une sauvagerie criminelle. Il mit 10 bonnes minutes à se faire à l'idée que son monde idyllique n'était qu'un songe et que son rêve venait de se briser.
Il était dégouté...
Mais si incroyable que cela puisse paraitre, il y avait plus important ; Il ignorait totalement ou il se trouvait. Alors que la lumière du jour devrait déjà filtrer par ses volets, l'empêchant à eux seul de dormir, ici l'éclairage était doux. Darphenix n'en croyait pas ses yeux. Il se serait volontié cru plonger dans le disque dur de Sync&Carnival. Mais la présence d'autre personne l'en fit douter.
D'autre personne pas spécialement normale non plus, d'ailleurs. Une espèce de type qui se révelerait surement taciturne et ennuyeux, une fille... ah non, un mec, dommage, qui ressemblait plus à une fille qu'a un mec, hélas Darphenix était hétéro. Une fille, une vrai, avec un chapeau de sorcière comme dans les contes de fées et qui devait avoir 10 ans et le paysan ne versait pas dans la pédophilie, dommage. Un type bien bâtie avec des cheveux bleus et une énorme épée, et un dernier gars qui, exception faite de ses cheveux argentés, semblait normal. Deux gars normal en tout, donc...
Il se mit sur son séant, et s'étira en regardant autour de lui.
C'est là qu'il vit un dernier type, vêtu de rouge et portant un masque, juste derrière lui. Il consultait des cartes et, après en avoir vu une se détacher du lot, il sembla réfléchir puis parla.
"Bonjour ? Quelqu'un peut-il et veut-il parler ?"
"Euh surement, mais pas à toi..." Lâcha Darphenix. "D'ailleurs je parle pas au cinglé, tu m'approche pas toi..." Continua-t-il en s'éloignant.
S'éloigner oui, mais vers qui? Il aurait bien abordé la demoiselle si elle n'avait pas été si jeune, quoique, pour plus tard... Il serait sans doute bon de se la mettre dans la poche tant qu'elle était encore naïve, ça n'en serait que plus simple plus tard!
"Heu... Salut..?"
Les paroles l'atteignirent comme celles du Saint Père (si tant est qu'il existe). En regardant vers la source du son, il vit... quelqu'un qui semblait normal. Celui au cheveux gris. Alléluia! En deux bond il fut sur lui!
"Salut!" Commença-t-il, tout content de trouver un type à qui parler. "Hey, tu sais ou on est là? Tu sais pourquoi on est là? Et c'est qui ce gars chelou en rouge là? C'est sa faute? Ce serait pas surprenant tu crois pas? Un gars louche dans un décor louche... C'est surement un vieux pervers avec des fantasmes inavouables... Ça expliquerait le masque. Il veut pas qu'on le reconnaisse. Tu sais te défendre?"
Il ne se rendait même pas compte qu'il pouvait être dérangeant d'être enseveli sous un flot de question...
Tout semblait si simple. Il était marié, il avait des gosses qu'il tyrannisait à loisir, et une femme aimante qui ne l'énervait que quand il abusait avec les marmots, et il devait bien reconnaitre qu'il abusait souvent. La ferme marchait plutôt bien, même si leur principales sources de revenu restaient l'arène. L'arène ou prouvait chaque jours, avec ses enfants, que la magie l'emportait sur la technologie. Que tout ces gadgets étaient réservés aux nazes trop mauvais pour s'en sortir sans autre chose. Lui ne comptait pas sur des engins avec des batteries, mais sur lui même.
Tout le monde le reconnaissait. Il était le combattant reconnu comme le plus puissant de tous, toute catégorie. Et son puissance lui apportait le pouvoir. Il avait droit de vie et de mort sur quiconque s'aventurait sur sa propriété. Et l'arène lui rapportait des sommes colossale. Il avait tout, la gloire, le pouvoir, l'amour, l'argent. Ah, que la vie était belle, ainsi.
"HÉHO !!"
"Quéquecéquekoi??"
Il avait été réveillé en sursaut par quelque chose qui n'était pas l'habituel chant du coq. Plutôt une espèce de cri violent qui l'avait tiré du sommeil avec une sauvagerie criminelle. Il mit 10 bonnes minutes à se faire à l'idée que son monde idyllique n'était qu'un songe et que son rêve venait de se briser.
Il était dégouté...
Mais si incroyable que cela puisse paraitre, il y avait plus important ; Il ignorait totalement ou il se trouvait. Alors que la lumière du jour devrait déjà filtrer par ses volets, l'empêchant à eux seul de dormir, ici l'éclairage était doux. Darphenix n'en croyait pas ses yeux. Il se serait volontié cru plonger dans le disque dur de Sync&Carnival. Mais la présence d'autre personne l'en fit douter.
D'autre personne pas spécialement normale non plus, d'ailleurs. Une espèce de type qui se révelerait surement taciturne et ennuyeux, une fille... ah non, un mec, dommage, qui ressemblait plus à une fille qu'a un mec, hélas Darphenix était hétéro. Une fille, une vrai, avec un chapeau de sorcière comme dans les contes de fées et qui devait avoir 10 ans et le paysan ne versait pas dans la pédophilie, dommage. Un type bien bâtie avec des cheveux bleus et une énorme épée, et un dernier gars qui, exception faite de ses cheveux argentés, semblait normal. Deux gars normal en tout, donc...
Il se mit sur son séant, et s'étira en regardant autour de lui.
C'est là qu'il vit un dernier type, vêtu de rouge et portant un masque, juste derrière lui. Il consultait des cartes et, après en avoir vu une se détacher du lot, il sembla réfléchir puis parla.
"Bonjour ? Quelqu'un peut-il et veut-il parler ?"
"Euh surement, mais pas à toi..." Lâcha Darphenix. "D'ailleurs je parle pas au cinglé, tu m'approche pas toi..." Continua-t-il en s'éloignant.
S'éloigner oui, mais vers qui? Il aurait bien abordé la demoiselle si elle n'avait pas été si jeune, quoique, pour plus tard... Il serait sans doute bon de se la mettre dans la poche tant qu'elle était encore naïve, ça n'en serait que plus simple plus tard!
"Heu... Salut..?"
Les paroles l'atteignirent comme celles du Saint Père (si tant est qu'il existe). En regardant vers la source du son, il vit... quelqu'un qui semblait normal. Celui au cheveux gris. Alléluia! En deux bond il fut sur lui!
"Salut!" Commença-t-il, tout content de trouver un type à qui parler. "Hey, tu sais ou on est là? Tu sais pourquoi on est là? Et c'est qui ce gars chelou en rouge là? C'est sa faute? Ce serait pas surprenant tu crois pas? Un gars louche dans un décor louche... C'est surement un vieux pervers avec des fantasmes inavouables... Ça expliquerait le masque. Il veut pas qu'on le reconnaisse. Tu sais te défendre?"
Il ne se rendait même pas compte qu'il pouvait être dérangeant d'être enseveli sous un flot de question...
Darphenix- Messages : 69
Date d'inscription : 30/04/2010
Age : 36
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Schiffer fut pris d'un rire nerveux.
''Ahahah, j'aimerais bien le savoir, où on est et ce qu'on fait là. Par contre, ce mec rouge bizarre j'ai aucune idée de qui c'est. Pour répondre à ta dernière question, on peut dire que je sais me défendre mais mes seules armes potables ici sont... mes dagues. Je saurai très bien me débrouiller, t'en fait pas. Et toi, tu sais te défendre on dirait. Tout le monde ici possède des armes, c'est louche.''
Schiffer tendit immédiatement la main vers ce jeune homme qui semblait très sympathique. Malgré les circonstances très bizarres, il souriait et se présenta :
''Je suis Schiffer, ravi de te recontrer''
''Ahahah, j'aimerais bien le savoir, où on est et ce qu'on fait là. Par contre, ce mec rouge bizarre j'ai aucune idée de qui c'est. Pour répondre à ta dernière question, on peut dire que je sais me défendre mais mes seules armes potables ici sont... mes dagues. Je saurai très bien me débrouiller, t'en fait pas. Et toi, tu sais te défendre on dirait. Tout le monde ici possède des armes, c'est louche.''
Schiffer tendit immédiatement la main vers ce jeune homme qui semblait très sympathique. Malgré les circonstances très bizarres, il souriait et se présenta :
''Je suis Schiffer, ravi de te recontrer''
Schiffer- Messages : 76
Date d'inscription : 28/04/2010
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Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Sazer se réveillait brusquement, d'un mouvement vif il se levait... C'était comme par réflexe face à un sentiment de danger tout proche. On pouvait dire que c'était l'entraînement militaire qui faisait défaut au colonel pour avoir un réveil nerveux de la sorte. Il faisait bien de se rendre nerveux vu la situation.
Cette sensation qu'il avait ressenti dans son bureau était belle et bien louche. Il avait donc prit le mauvais choix de se relâcher même si la fatigue l'accablait après son retour de mission. Mais il s'en voulait de tomber dans le piège d'un sort de sommeil basique qu'il aurait très bien pu éviter. Ce genre d'arcane n'était pas de son niveau pour le vaincre comme ça. Enfin quelle importance pensa Sazer. Il lança enfin son sourire perpétuel comme quoi il n'était pas inquiet des circonstances...
Il regarda autour de lui et se demande naturellement dans quels genre d'endroits s'est il retrouvé. Cet univers échappait à ce qu'il avait pu rencontrer par le passé. Ce ciel lumineux mais trop profond pour être simplement la nuit, une autre dimension... ?
Il était sur une sorte de plate-forme assez imposante entourée de colonnes, cette même plate-forme semblait descendre vers le bas...
Le colonel pensa à un enlèvement de sa personne à cause de sa position sociale mais d'autres personnes s'y trouvaient. La plupart semblaient assez étranges mais ils étaient loin de dérouter l'infaillible Sazer.
Toujours silencieux, il regarda autour de lui et il y avait bien entendu aucunes issues. La seule issue serait donc l'arrivée sur terre ou de l'endroit où cette plate forme devrait les conduire. Normalement, il avait dans l'intention de s'approcher des autres personnes enfermés dans ce lieu. Mais il avait la présomption qu'ils ne savaient rien... Une pensée stupide pensait-il mais c'est rare que son instinct le trompe. Mais au fond de lui, il avait surtout pas envie d'aller accoster ces personnages. A la place, Sazer s'approchait un peu du centre de la plate-forme pour se faire remarquer et il lâcha un petit ricanement paradoxale à la situation qui demeurait inquiétante.
- Eh bien, eh bien... Quelle situation intriguante...
Cette sensation qu'il avait ressenti dans son bureau était belle et bien louche. Il avait donc prit le mauvais choix de se relâcher même si la fatigue l'accablait après son retour de mission. Mais il s'en voulait de tomber dans le piège d'un sort de sommeil basique qu'il aurait très bien pu éviter. Ce genre d'arcane n'était pas de son niveau pour le vaincre comme ça. Enfin quelle importance pensa Sazer. Il lança enfin son sourire perpétuel comme quoi il n'était pas inquiet des circonstances...
Il regarda autour de lui et se demande naturellement dans quels genre d'endroits s'est il retrouvé. Cet univers échappait à ce qu'il avait pu rencontrer par le passé. Ce ciel lumineux mais trop profond pour être simplement la nuit, une autre dimension... ?
Il était sur une sorte de plate-forme assez imposante entourée de colonnes, cette même plate-forme semblait descendre vers le bas...
Le colonel pensa à un enlèvement de sa personne à cause de sa position sociale mais d'autres personnes s'y trouvaient. La plupart semblaient assez étranges mais ils étaient loin de dérouter l'infaillible Sazer.
Toujours silencieux, il regarda autour de lui et il y avait bien entendu aucunes issues. La seule issue serait donc l'arrivée sur terre ou de l'endroit où cette plate forme devrait les conduire. Normalement, il avait dans l'intention de s'approcher des autres personnes enfermés dans ce lieu. Mais il avait la présomption qu'ils ne savaient rien... Une pensée stupide pensait-il mais c'est rare que son instinct le trompe. Mais au fond de lui, il avait surtout pas envie d'aller accoster ces personnages. A la place, Sazer s'approchait un peu du centre de la plate-forme pour se faire remarquer et il lâcha un petit ricanement paradoxale à la situation qui demeurait inquiétante.
- Eh bien, eh bien... Quelle situation intriguante...
Sazer- Messages : 55
Date d'inscription : 30/04/2010
Age : 51
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Visiblement, les tentatives de communication d'Alberich avaient échoués lamentablement. Encore que, cela pouvait être parfaitement compréhensible. Il fallait savoir juste qu'Alberich était horrible, un monstre que personne ne pouvait regarder réellement. Personne ne s'approcherait de lui s'il sortait du centre d'expérimentations dans son monde et visiblement, personne ne s'approcherait de lui ici, il n'était pas normal. Il était un monstre. Ne pouvant s'entendre qu'avec ses semblables.
Les paroles d'un autre éveillé lui remirent cette réalité en face, celle que personne ne lui ferait confiance car il semblait être un personnage du 3e type.
Une machine de guerre incomplète.
Un incapable en tant qu'être humain. Un incapable en tant que monstre. Quelle ironie du destin !
Il ne répondit rien à Darphénix et se contenta de faire un geste simple : il baissa la tête et enleva son masque d'une manière très discrète, de sorte à ce que personne ne le voit. Il sortit un autre masque de ses vêtements et le mit.
Son "visage" avait maintenant un air triste.
Les cartes avaient parlés et il avait accompli leur volonté. Le message avait été clair : il avait du prendre contact avec ces individus. Si personne ne souhaitait lui parler, il avait néanmoins enclenché le processus relationnel. Que le tarot est vague et pourtant précis ! Il lui restait des décennies d'entraînement avant de comprendre avec précision les messages.
Il s'assit, attendant que le processus suive son cours naturel.
Les paroles d'un autre éveillé lui remirent cette réalité en face, celle que personne ne lui ferait confiance car il semblait être un personnage du 3e type.
Une machine de guerre incomplète.
Un incapable en tant qu'être humain. Un incapable en tant que monstre. Quelle ironie du destin !
Il ne répondit rien à Darphénix et se contenta de faire un geste simple : il baissa la tête et enleva son masque d'une manière très discrète, de sorte à ce que personne ne le voit. Il sortit un autre masque de ses vêtements et le mit.
Son "visage" avait maintenant un air triste.
Les cartes avaient parlés et il avait accompli leur volonté. Le message avait été clair : il avait du prendre contact avec ces individus. Si personne ne souhaitait lui parler, il avait néanmoins enclenché le processus relationnel. Que le tarot est vague et pourtant précis ! Il lui restait des décennies d'entraînement avant de comprendre avec précision les messages.
Il s'assit, attendant que le processus suive son cours naturel.
Warp- Messages : 68
Date d'inscription : 28/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
J'étais toujours assise. Je crois bien qu'ils étaient tous réveillé. En même temps, je m'en fiche un peu. Je ne les connais pas, mais je ne me connais pas non plus. On continue de descendre. J'aime bien ce paysage. Mais, où allons nous ? Je ne sais pas. Je regarde autour de moi. Depuis que l'homme stupide avait hurlé, beaucoup de personne s'était réveillé. Ils n'avaient pas l'air très accueillant. Je préfère ne pas les approcher. Si j'avais raison, et que l'un d'entre eux nous avait amenés ici ? Je ne le saurais surement jamais. Mais je préfère rester ici pour l'instant.
Un homme habillé de rouge prit la parole. Personne n'a voulu lui répondre. J'ai vu qu'ils avaient des cartes de tarots. Deux autres hommes ont pris la parole. Ils ont l'air louche. L'un d'entre eux est méchant. Il a critiqué l'homme en rouge, l'accusant de crime qu'il n'avait peut être pas commis. Il est méchant. Mais n'ai-je pas fait la même chose il y a quelques minutes. Je ne sais pas. Les deux hommes continuent de parler ensemble, alors qu'un autre s'avance au centre de la pièce et rit. Un homme plus âgé reste seul, alors que l'idiot est toujours au sol. L'homme en rouge change son masque, pour un visage triste.
J'ai été méchante. Je les ai jugés sans les connaître. J'espère que je n'étais pas comme ça avant. Mais je n'aime pas l'homme qui a accusé l'homme en rouge. Il me fait de la peine. Il a juste demander à parler, et ils l'ont ignoré. Je n'aime pas les deux hommes qui parlent entre eux. L'homme aux cartes à l'air triste. Le pauvre. Je me lève. Je vais aller lui parler. Je ne veux pas être méchante. Je m'approche doucement de lui. Une fois devant lui, je lui sourit. Je ne voit pas sa réaction. J'espère que ça lui fait plaisir. En tout cas, je ne parlerais pas avec l'autre homme. L'homme en rouge à l'air sympathique. J'espère qu'il va mettre un masque souriant.
Bonjour Monsieur. Oui, je peux, et je veux bien parler.
J'entends ma voix. Cela fait longtemps. J'aime bien ma voix. Je le regarde. J'espère qu'il va me répondre. Je me retourne pour regarder les autres. Je dévisage l'homme méchant, puis je détourne mon regard pour regarder l'homme en rouge. Je suis méchante. Je n'aime pas un homme que je ne connais pas, mais il a mal agis. Peut être que je lui pardonnerais. On verra. J'espère que l'homme en rouge répondra ...
Un homme habillé de rouge prit la parole. Personne n'a voulu lui répondre. J'ai vu qu'ils avaient des cartes de tarots. Deux autres hommes ont pris la parole. Ils ont l'air louche. L'un d'entre eux est méchant. Il a critiqué l'homme en rouge, l'accusant de crime qu'il n'avait peut être pas commis. Il est méchant. Mais n'ai-je pas fait la même chose il y a quelques minutes. Je ne sais pas. Les deux hommes continuent de parler ensemble, alors qu'un autre s'avance au centre de la pièce et rit. Un homme plus âgé reste seul, alors que l'idiot est toujours au sol. L'homme en rouge change son masque, pour un visage triste.
J'ai été méchante. Je les ai jugés sans les connaître. J'espère que je n'étais pas comme ça avant. Mais je n'aime pas l'homme qui a accusé l'homme en rouge. Il me fait de la peine. Il a juste demander à parler, et ils l'ont ignoré. Je n'aime pas les deux hommes qui parlent entre eux. L'homme aux cartes à l'air triste. Le pauvre. Je me lève. Je vais aller lui parler. Je ne veux pas être méchante. Je m'approche doucement de lui. Une fois devant lui, je lui sourit. Je ne voit pas sa réaction. J'espère que ça lui fait plaisir. En tout cas, je ne parlerais pas avec l'autre homme. L'homme en rouge à l'air sympathique. J'espère qu'il va mettre un masque souriant.
Bonjour Monsieur. Oui, je peux, et je veux bien parler.
J'entends ma voix. Cela fait longtemps. J'aime bien ma voix. Je le regarde. J'espère qu'il va me répondre. Je me retourne pour regarder les autres. Je dévisage l'homme méchant, puis je détourne mon regard pour regarder l'homme en rouge. Je suis méchante. Je n'aime pas un homme que je ne connais pas, mais il a mal agis. Peut être que je lui pardonnerais. On verra. J'espère que l'homme en rouge répondra ...
Luna- Messages : 54
Date d'inscription : 30/04/2010
Age : 28
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Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Détournant mon regard de l'ascenseur qui continuait de descendre, je vis un jeune homme qui me sembla arrogant se lever et nous dévisager un à un. Il marmonna quelque chose à l'attention de l'homme masqué et s'en éloigna pour se rapprocher de celui qui avait des dagues et se mit à lui parler. Je n'avais pas l'impression qu'il en sache plus que nous, mais il semblait nous avoir directement jugé sans nous connaître, et avait catalogué l'homme en rouge de "vieux pervers".
L'homme aux dagues lui répondit, et je fus alors quasiment certain qu'aucun d'entre nous n'avait d'idée de pourquoi nous étions là ou de comment nous étions arrivés ici. Enfin, je m'en doutais.
C'est alors qu'un homme se leva très rapidement et se dirigea vers le centre de la salle en poussant un ricanement ironique. Détournant mon regard des deux jeunes hommes, je l'observa. A mon avis, il devait avoir environ 40 ans et avait l'air de s'amuser plus que de s'interroger sur notre situation actuelle. Le genre de personnes qui ne montrent que rarement leurs vrais sentiments et préfèrent faire de l'ironie au milieu d'une situation inhabituelle.
Suite à cela, je vis que l'homme en rouge avait remarqué que l'autre jeune homme arrogant lui avait adressé une remarque méchante, car son masque avait changé d'expression. Il était passé d'un masque inexpressif à un masque triste, il avait donc dû le changer très discrètement en ne souhaitant pas qu'on le voit. J'ignorais pour quelles raisons, mais ça ne me concernait pas. L'immédiat était plutôt de savoir ce que nous faisions ici et pour quelles raisons, et personne ici ne me sembla avoir de réponse.
Ensuite, je vis la jeune fille au chapeau pointu s'avancer et parler avec douceur à l'homme masqué. Elle avait certainement remarqué que la remarque de l'arrogant l'avait blessé et voulait le réconforter. Je trouvais que c'était une intention beaucoup plus louable que la remarque blessante du jeune homme arrogant, mais ça ne m'intéressait pas vraiment. Ils me semblaient tous être occupés à se réconforter et s'envoyer des remarques blessantes les uns les autres plutôt que de se demander ce que nous faisions ici, mais après tout, personne ne semblait en avoir la moindre idée, je suppose donc que c'était la seule chose à faire.
Je croisa alors les bras et continua d'observer la descente de l'ascenseur et l'architecture atypique.
L'homme aux dagues lui répondit, et je fus alors quasiment certain qu'aucun d'entre nous n'avait d'idée de pourquoi nous étions là ou de comment nous étions arrivés ici. Enfin, je m'en doutais.
C'est alors qu'un homme se leva très rapidement et se dirigea vers le centre de la salle en poussant un ricanement ironique. Détournant mon regard des deux jeunes hommes, je l'observa. A mon avis, il devait avoir environ 40 ans et avait l'air de s'amuser plus que de s'interroger sur notre situation actuelle. Le genre de personnes qui ne montrent que rarement leurs vrais sentiments et préfèrent faire de l'ironie au milieu d'une situation inhabituelle.
Suite à cela, je vis que l'homme en rouge avait remarqué que l'autre jeune homme arrogant lui avait adressé une remarque méchante, car son masque avait changé d'expression. Il était passé d'un masque inexpressif à un masque triste, il avait donc dû le changer très discrètement en ne souhaitant pas qu'on le voit. J'ignorais pour quelles raisons, mais ça ne me concernait pas. L'immédiat était plutôt de savoir ce que nous faisions ici et pour quelles raisons, et personne ici ne me sembla avoir de réponse.
Ensuite, je vis la jeune fille au chapeau pointu s'avancer et parler avec douceur à l'homme masqué. Elle avait certainement remarqué que la remarque de l'arrogant l'avait blessé et voulait le réconforter. Je trouvais que c'était une intention beaucoup plus louable que la remarque blessante du jeune homme arrogant, mais ça ne m'intéressait pas vraiment. Ils me semblaient tous être occupés à se réconforter et s'envoyer des remarques blessantes les uns les autres plutôt que de se demander ce que nous faisions ici, mais après tout, personne ne semblait en avoir la moindre idée, je suppose donc que c'était la seule chose à faire.
Je croisa alors les bras et continua d'observer la descente de l'ascenseur et l'architecture atypique.
Gordon Blake- Messages : 59
Date d'inscription : 28/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Tout d'un coup, au milieux du décors silencieux et irréaliste jonché d'une activitée vive et surprise de ses convives, un soudain évènement dénota dans le singulier décors, coupant cours de manière brutale aux activitées naissantes des personnes s'y trouvant. L'on dénotera d'abord que, sur le rebords de la plateforme de métal, trois collones en fer s'élevaient, séparément des pilliers arqués de la grande bâtisse dans laquelle la dites plateforme était part du mécanisme. Et que, dès lors, au sommet d'une de ces collones, observant les convives depuis on ne sait combiens de temps, mais dont soudainement sa présence se fît ressentir et comprise de tous, un mystérieux être observait la scène. "Il" avait finallement déçidé de s'impliquer, et de rentrer en scène.
— Je vois... Que vous êtes tous réveillés. Prononça-t-il, d'une voix sobre et patiente. Puis, il s'élança du haut de la collone et se positiona au centre de la plateforme, détrônant ceux qui y assistaient déja, à travers une sombre prestance, une gesture, qui poussait tout un chacun à reculer devant lui.
(La musique ne s'affiche pas ? Téléchargez-là ici : http://bluelaguna.net/downloads/mp3s/sh3ost/115+Professer+Gilbert.mp3)
Tous étaient impressionnés, mais ils ne savaient pas pourquoi. Ils ressentaient comme une pression devant cet être, qui pourtant aurait pu sembler quelquonquement anodin, mais qui était titanesque dans sa présente position. Pourquoi ? Était-ce le surréalisme de la scène, de ce qui les entouraient depuis peu, tout ce qu'ils avaient soudainement et étrangement resentis, qui mennait à ce sentiment paradoxal et transcendant ? C'était... Juste fou. Un sentiment fou, un frissonement humide de rancoeur et de fatalitée à travers leur vertèbres, tout ce qui était noir était blanc, et tout ce qui était blanc était noir. Irréaliste, maladif, démentiel ! Ah ! Mais qu'était-ce que cette myriade de préssentiments incorrigibles et incompréhensibles ? Cette pression que nous ressentions -- voulait-elle que nous ressentions ça ? Etions-nous mené à penser et à ressentir cela ? C'était si désagréable ! Et pourtant, l'on aurait étrangement, voulu que ça dure, c'était la même sensation agréable qu'au début... Mais autrement...
L'homme au centre de la plateforme était tout ce qu'il y a de plus banal, mais étrangement tous ressentaient qu'il était important. Un homme jeune, grand et maigre, que l'on pourrait presque croire chétif, et qui devait faire plus de la vingtaine d'année. Ou était-ce cela ? Sur son visage, quelques rides trahissaient un age plus vaste - plus proche de la trentaine voir la quarantaine, mais il semblait égallement jeune en apparance. Étrange paradoxe – vêtu d'une robe simple en épais tissu blanc, aux longues manches et déscendant jusqu'à ses pieds, tout ce qu'il y a de plus banal, et seulement de ça, et coiffé de cours cheuveux blonds, affichant un air sérieux voir méprisant de ses perçants yeux bleus, il levait les bras à mi-hauteur d'une manière à se faire entendre par tous où qu'ils soient, même si ça ne pouvait être à plus de 5 mètres autours de lui. Sa voix, fracassante tel le marteau de Zeus, atteignît chacun avec percutement.
— Bonsoirs à tous et à toutes. Je suppose que beaucoups d'entres vous se demandent ce qu'ils font ici, et quel est cet endroit. Laissez-moi donc vous préçiser que vous êtes ici dans votre déscente au sain de la Destination Finale, une destination sans destination, car vous êtes morts. Oui, vous êtes morts - et celui qui a sauvé votre âme, c'est... moi, dit-il en plaçant un regard autours de ses convives.
Il laissa retomber ses bras le long de son corp. Il n'avait pas eût grand chose à dire, mais ça avait frapper étrangement fort. Tous étaient comme absorbé par son discours, par l'ambiance qu'il imposait par sa seule présence. Il reprît la parole dans la tension ambiante, d'une voix cette fois moins forte et plus naturelle :
— A cette fin, laissez-moi me présenter; je suis le Professeur T. Esbald, un scientifique de l'autre monde, un observateur à la recherche de la véritée, et j'ai sauvé votre âme de la mort dans le but d'une tâche très importante. J'espère que nous serons mené à nous entendre... termina-t-il d'un sourire volontairement hypocrite. "Des questions ?" fût la question soulevée pour conclusion, d'un ton goguenard.
— Je vois... Que vous êtes tous réveillés. Prononça-t-il, d'une voix sobre et patiente. Puis, il s'élança du haut de la collone et se positiona au centre de la plateforme, détrônant ceux qui y assistaient déja, à travers une sombre prestance, une gesture, qui poussait tout un chacun à reculer devant lui.
(La musique ne s'affiche pas ? Téléchargez-là ici : http://bluelaguna.net/downloads/mp3s/sh3ost/115+Professer+Gilbert.mp3)
Tous étaient impressionnés, mais ils ne savaient pas pourquoi. Ils ressentaient comme une pression devant cet être, qui pourtant aurait pu sembler quelquonquement anodin, mais qui était titanesque dans sa présente position. Pourquoi ? Était-ce le surréalisme de la scène, de ce qui les entouraient depuis peu, tout ce qu'ils avaient soudainement et étrangement resentis, qui mennait à ce sentiment paradoxal et transcendant ? C'était... Juste fou. Un sentiment fou, un frissonement humide de rancoeur et de fatalitée à travers leur vertèbres, tout ce qui était noir était blanc, et tout ce qui était blanc était noir. Irréaliste, maladif, démentiel ! Ah ! Mais qu'était-ce que cette myriade de préssentiments incorrigibles et incompréhensibles ? Cette pression que nous ressentions -- voulait-elle que nous ressentions ça ? Etions-nous mené à penser et à ressentir cela ? C'était si désagréable ! Et pourtant, l'on aurait étrangement, voulu que ça dure, c'était la même sensation agréable qu'au début... Mais autrement...
L'homme au centre de la plateforme était tout ce qu'il y a de plus banal, mais étrangement tous ressentaient qu'il était important. Un homme jeune, grand et maigre, que l'on pourrait presque croire chétif, et qui devait faire plus de la vingtaine d'année. Ou était-ce cela ? Sur son visage, quelques rides trahissaient un age plus vaste - plus proche de la trentaine voir la quarantaine, mais il semblait égallement jeune en apparance. Étrange paradoxe – vêtu d'une robe simple en épais tissu blanc, aux longues manches et déscendant jusqu'à ses pieds, tout ce qu'il y a de plus banal, et seulement de ça, et coiffé de cours cheuveux blonds, affichant un air sérieux voir méprisant de ses perçants yeux bleus, il levait les bras à mi-hauteur d'une manière à se faire entendre par tous où qu'ils soient, même si ça ne pouvait être à plus de 5 mètres autours de lui. Sa voix, fracassante tel le marteau de Zeus, atteignît chacun avec percutement.
— Bonsoirs à tous et à toutes. Je suppose que beaucoups d'entres vous se demandent ce qu'ils font ici, et quel est cet endroit. Laissez-moi donc vous préçiser que vous êtes ici dans votre déscente au sain de la Destination Finale, une destination sans destination, car vous êtes morts. Oui, vous êtes morts - et celui qui a sauvé votre âme, c'est... moi, dit-il en plaçant un regard autours de ses convives.
Il laissa retomber ses bras le long de son corp. Il n'avait pas eût grand chose à dire, mais ça avait frapper étrangement fort. Tous étaient comme absorbé par son discours, par l'ambiance qu'il imposait par sa seule présence. Il reprît la parole dans la tension ambiante, d'une voix cette fois moins forte et plus naturelle :
— A cette fin, laissez-moi me présenter; je suis le Professeur T. Esbald, un scientifique de l'autre monde, un observateur à la recherche de la véritée, et j'ai sauvé votre âme de la mort dans le but d'une tâche très importante. J'espère que nous serons mené à nous entendre... termina-t-il d'un sourire volontairement hypocrite. "Des questions ?" fût la question soulevée pour conclusion, d'un ton goguenard.
Professeur T. Esbald- Apôtre de l'Anté-Destinée
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Date d'inscription : 29/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Schiffer avait un peu l'air con. Il attendait depuis un petit moment avec sa main devant lui. Le mec en avant de lui avait l'air de ne pas vouloir lui répondre ou de l'ignorer. Prenant ça comme une insulte, il se retourna brusquemment. Il aperçut alors une autre personne. Il avait l'air un peu plus vieux que lui, mais... Plus vieux en même temps. Il était vraiment impressionnant, il avait une sorte d'aura mystique bizarre qui l'entourait. C'était comme avant de se réveiller, mais... Moins tentant, plus désagréable. Il nota tout de même que ses vêtements étaient on ne le peut plus simples.
L'homme commença un long discours, qui se termina par "Des questions ?". Cela devait être la question la plus idiote qu'il ait entendu depuis un bout de temps. Parcouru d'un autre rire nerveux, Schiffer répondit :
''Hé bien... Si j'ai des questions ? Je crois bien. Après tout, je suis mort et tu m'as sauvé d'une quelconque manière. Pourquoi ça ? Pourquoi nous as-tu sauvés ? Et surtout, Quelle est cette tâche qu'on doit accomplir ?''
Schiffer voulait des réponses et espérait les obtenir.
L'homme commença un long discours, qui se termina par "Des questions ?". Cela devait être la question la plus idiote qu'il ait entendu depuis un bout de temps. Parcouru d'un autre rire nerveux, Schiffer répondit :
''Hé bien... Si j'ai des questions ? Je crois bien. Après tout, je suis mort et tu m'as sauvé d'une quelconque manière. Pourquoi ça ? Pourquoi nous as-tu sauvés ? Et surtout, Quelle est cette tâche qu'on doit accomplir ?''
Schiffer voulait des réponses et espérait les obtenir.
Schiffer- Messages : 76
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Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
J'étais toujours aux côtés du Monsieur en Rouge. Il n'avait pas répondu. Je regardais autour. Il n'y avait plus beaucoup de dialogue. Cela faisait quelque temps que nous étions en train de descendre, et cela continuait. Je m'ennuyais, et je ne comprenais rien à ce qu'il se passait. Je voulais juste les revoir. Alors que j'attendais qu'il me réponde, un évènement se produisit. Le décor changea quelque peu, et après maintes effet, un homme apparu en plein centre de la pièce. Son arrivée me fit quelque peu reculer. Il avait l'air plutôt simple.
Il prit la parole. Il nous expliqua tout. J'étais donc morte. Je ne les reverrais jamais. Je m'en veux. Je les ai sauvé, mais c'est finit. Je ne les reverrais plus. Je les aime. Je suis triste. Comment suis-je morte ? Je n'en ai aucune idée. Pourquoi suis-je morte ? Je ne sais pas. M'a t-on tuée, ou suis-je morte d'une maladie ? Je ne sais pas non plus. Tout ce que je sais, c'est que je ne les reverrais plus, et que maintenant, une tâche m'était confié par un parfait inconnu. Je le regardais. Il n'avait pas l'air méchant. Après nous avoir tout expliqué, il nous demanda si l'on avait des questions. Je ne savais pas. Je serrais mon bâton.
Merci.
Je tenais juste à le remercier de nous avoir "sauver", même si nous étions mort. Je préférais ne pas parler pour l'instant. J'étais encore triste. Je les avais perdu. Je me suis assise, cachant mon visage, et laissant quelques larmes coulées ...
Il prit la parole. Il nous expliqua tout. J'étais donc morte. Je ne les reverrais jamais. Je m'en veux. Je les ai sauvé, mais c'est finit. Je ne les reverrais plus. Je les aime. Je suis triste. Comment suis-je morte ? Je n'en ai aucune idée. Pourquoi suis-je morte ? Je ne sais pas. M'a t-on tuée, ou suis-je morte d'une maladie ? Je ne sais pas non plus. Tout ce que je sais, c'est que je ne les reverrais plus, et que maintenant, une tâche m'était confié par un parfait inconnu. Je le regardais. Il n'avait pas l'air méchant. Après nous avoir tout expliqué, il nous demanda si l'on avait des questions. Je ne savais pas. Je serrais mon bâton.
Merci.
Je tenais juste à le remercier de nous avoir "sauver", même si nous étions mort. Je préférais ne pas parler pour l'instant. J'étais encore triste. Je les avais perdu. Je me suis assise, cachant mon visage, et laissant quelques larmes coulées ...
Luna- Messages : 54
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Localisation : Argenteuil
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
C'est alors qu'enfin, je vis quelque chose se passer. Le décor se modifia légèrement et un homme apparut. Je ressentis alors la même sensation que lors de mon éveil, celle d'être mort sans l'être, d'être vivant sans l'être, d'être réel en étant hors de la réalité, d'être dans la réalité en étant irréel. C'était la présence de cet homme qui m'avait fait ressentir ça ? Ces sentiments s'accentuèrent d'autant plus lorsqu'il dit que nous étions bels et bien morts et qu'il nous avait sauvés.
Cet homme, ce "Professeur T. Esbald" tel qu'il l'avait dit, ce scientifique ne me paraissait pas être quelqu'un d'ordinaire. Il était différent, j'en étais persuadé. Lorsqu'il finit son discours par la phrase "Des questions ?", je ne pus m'empêcher de penser qu'il avait le sens de l'ironie et de l'humour cynique. Nous étions forcés d'avoir des questions. Je décroisa les bras et m'avança de quelques pas en ne prêtant pas attention aux autres membres de la salle.
Que faisons-nous ici ?
Cet homme, ce "Professeur T. Esbald" tel qu'il l'avait dit, ce scientifique ne me paraissait pas être quelqu'un d'ordinaire. Il était différent, j'en étais persuadé. Lorsqu'il finit son discours par la phrase "Des questions ?", je ne pus m'empêcher de penser qu'il avait le sens de l'ironie et de l'humour cynique. Nous étions forcés d'avoir des questions. Je décroisa les bras et m'avança de quelques pas en ne prêtant pas attention aux autres membres de la salle.
Que faisons-nous ici ?
Gordon Blake- Messages : 59
Date d'inscription : 28/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Après s'être relevé lentement, Ike observait la situation avec tact, et comme l'homme d'action qu'il était, il trouvait que tout allez bien trop lentement. Tout ses "collègues" dans la salle étaient bien trop ramolo à réagir, et ils venaient tout juste de commencer à se parler, et encore. Le seul qui lui paraissait sympa c'est le gringalet bâttis comme lui avec des cheuveux bruns, il semblait social, alors ike s'est dirigé vers lui. Au même moment, il ressent une sensation bizarre dan une situation bizarre, et un homme mal vêtu apparaît sur la décoration et nous dit que nous sommes mort. Si l'homme issu de la décoration les avait emmener ici pour leur demander de l'aide, il s'y était mal prit et méritait par le fait même de ce voir refusé ce qu'il avait à demander.
Si ce même homme avait fait kidnapper tout un groupe d'aventurier qui venaient de mourrir pour les faire travailler pour lui sous de sombre desseins, il méritait lui même la mort.
Et s'il les avait fait venir pour se divertir, Ike se chargerait personnellement de jouer au foot avec sa tête.
"Désolé si je vous semble incourtois, mais vos manière ne sont pas adéquate. Veuillez réessayez plus tard. Merci, et au revoir."
Puis il se dirigea vers la porte... avant de se rendre compte que dans un ascenceur spatial, il n'y a pas de porte. Se sentant soudainement très idiot, il décida de s'asseoir et de se masser la tête pour savoir ce qu'il lui avait pris. D'ailleurs ses préçédentes pensées était très idiotes aussi. Il se demanda pourquoi il avait réagit aussi stupidement, et se déçida à assister calmement à la scène sans réchigner.
Edit du Game Master : Hihihi.
Si ce même homme avait fait kidnapper tout un groupe d'aventurier qui venaient de mourrir pour les faire travailler pour lui sous de sombre desseins, il méritait lui même la mort.
Et s'il les avait fait venir pour se divertir, Ike se chargerait personnellement de jouer au foot avec sa tête.
"Désolé si je vous semble incourtois, mais vos manière ne sont pas adéquate. Veuillez réessayez plus tard. Merci, et au revoir."
Puis il se dirigea vers la porte... avant de se rendre compte que dans un ascenceur spatial, il n'y a pas de porte. Se sentant soudainement très idiot, il décida de s'asseoir et de se masser la tête pour savoir ce qu'il lui avait pris. D'ailleurs ses préçédentes pensées était très idiotes aussi. Il se demanda pourquoi il avait réagit aussi stupidement, et se déçida à assister calmement à la scène sans réchigner.
Edit du Game Master : Hihihi.
Hero Ike- – Ne fait plus partie du RP –
- Messages : 6
Date d'inscription : 29/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Ainsi donc quelqu'un avait daigné lui adresser la parole ? Que c'était curieux. Alberich lança son regard vide vers cette jeune fille, Luna, qui répondait positif à l'annonce. Analyse de la situation ! Il fallait savoir qu'aucun autre individu ne s'était décidé à venir lui parler. Qu'un jeune garçon l'avait traité de malade mental. Et qu'après, il y eut un autre moment de silence... et après que le Cartomancer mit son visage triste, la gamine au chapeau pointue était venue.
Une seule conclusion possible.
Cette personne avait réagi à la tristesse d'Alberich... ou était scandalisée par le comportement de Darphénix. Elle était venue pour réconforter Alberich. Mais ce n'était pas par altruisme.
C'était par pitié.
Luna témoignait de la pitié. Ce n'était pas de la gentillesse... juste que la gamine trouvait l'homme masqué pathétique, délaissé de tous. C'était une réaction classique. A tel point que l'intéressé ne répondit absolument rien.
Il n'y avait absolument rien à répondre.
D'ailleurs même si Alberich avait voulu répondre...
"Je vois... Que vous êtes tous réveillés."
Tout fut extrêmement rapide : Alberich se sentit écrasé.
Le sentiment d'être une pauvre sous-merde, vide, sans âme, sans but (ce qui n'était pas tout à fait faux). Voilà ce que ressentait le Cartomancer lorsque le Professeur T. Esbald fit son entrée en scène ! Une sensation étrange (et encore une fois l'image d'un verre brisé apparut dans l'esprit du cobaye... pourquoi d'ailleurs ? Ça n'avait aucun sens.)
Rien n'avait changé.
Juste que Alberich faisait une rencontre du 3e type.
Mais qui était cet homme ? Il parlait de concepts étranges. Il était donc dans la Destination Finale ? Une descente sans fin durant pour l'éternité ? Il était donc mort. Mais il était revenu ?
Alors que Alberich enlevait avec difficulté son masque triste pour remettre discrètement le masque habituel, l'Arcane Sans Nom tombait par terre. Le basculement de situation... classique. Le renouveau. Quelque chose allait se passer, quelque chose qui allait tout changer.
T. Esbald avec sa surpuissance avait sauvé les âmes du groupe dans un certain but. C'était la conclusion logique des cartes.
"Je... et que nous a donc valu cet immense honneur ?"
Ce fut la seule chose que le Cartomancer dit en ramassant son arcane de tarot. Avec une modestie toute naturelle, d'un ton humble qui n'était pas falsifié. Alberich ne connaissait pas T. Esbald mais il savait déjà qu'il imposait le respect.
Une seule conclusion possible.
Cette personne avait réagi à la tristesse d'Alberich... ou était scandalisée par le comportement de Darphénix. Elle était venue pour réconforter Alberich. Mais ce n'était pas par altruisme.
C'était par pitié.
Luna témoignait de la pitié. Ce n'était pas de la gentillesse... juste que la gamine trouvait l'homme masqué pathétique, délaissé de tous. C'était une réaction classique. A tel point que l'intéressé ne répondit absolument rien.
Il n'y avait absolument rien à répondre.
D'ailleurs même si Alberich avait voulu répondre...
"Je vois... Que vous êtes tous réveillés."
Tout fut extrêmement rapide : Alberich se sentit écrasé.
Le sentiment d'être une pauvre sous-merde, vide, sans âme, sans but (ce qui n'était pas tout à fait faux). Voilà ce que ressentait le Cartomancer lorsque le Professeur T. Esbald fit son entrée en scène ! Une sensation étrange (et encore une fois l'image d'un verre brisé apparut dans l'esprit du cobaye... pourquoi d'ailleurs ? Ça n'avait aucun sens.)
Rien n'avait changé.
Juste que Alberich faisait une rencontre du 3e type.
Mais qui était cet homme ? Il parlait de concepts étranges. Il était donc dans la Destination Finale ? Une descente sans fin durant pour l'éternité ? Il était donc mort. Mais il était revenu ?
Alors que Alberich enlevait avec difficulté son masque triste pour remettre discrètement le masque habituel, l'Arcane Sans Nom tombait par terre. Le basculement de situation... classique. Le renouveau. Quelque chose allait se passer, quelque chose qui allait tout changer.
T. Esbald avec sa surpuissance avait sauvé les âmes du groupe dans un certain but. C'était la conclusion logique des cartes.
"Je... et que nous a donc valu cet immense honneur ?"
Ce fut la seule chose que le Cartomancer dit en ramassant son arcane de tarot. Avec une modestie toute naturelle, d'un ton humble qui n'était pas falsifié. Alberich ne connaissait pas T. Esbald mais il savait déjà qu'il imposait le respect.
Warp- Messages : 68
Date d'inscription : 28/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Je continuais de pleurer. Pourquoi étais-je morte ? Je n'avais même pas pu leur dire adieux. Je ne sais même pas pourquoi je pleure. Je ne me souviens de rien. Et pourtant, je me souviens d'eux. Je sais que je les aimais vraiment, et qu'ils vont me manquer. La mort ... Je n'y avais jamais pensé. Finalement, cette sensation que j'avais ressentie ce n'était pas de la satisfaction d'être morte puisque je me maudissais d'être morte. Mais cette sensation était réapparue lorsque le Professeur était apparue. Pourquoi ne m'avait-il pas laissé mourir ? Morte, je n'aurais pas eut à repenser à ces êtres que j'aimais ...
Beaucoup de ces hommes posait des questions. L'Homme en Rouge avait posé une question, mais ne m'avait pas répondue. Il ne m'aimait peut être pas. Pourtant, j'ai essayé d'être gentille. Peut être ne l'a t-il pas pris comme cela ? C'est vrai que je ne lui avais pas répondue immédiatement, mais le fait que l'autre homme ait parlé comme ça m'avait énervée. Était-ce la pitié qui m'avait forcé le pas ? Aucune idée. Je ne sais même plus ce que je ressens. Je suis juste triste. Très triste. Tant pis s'il ne veut pas me parler. Je l'ai peut être énervé. Je l'apprendrais peut être un jour. J'espère juste que je n'ai pas fait cela par pitié. Je n'aime pas faire preuve de pitié, ou que l'on fasse preuve de pitié envers moi. Comment puis-je en être sûr alors que je ne me rappelle de rien ? Je ne sais pas.
Je continuais de pleurer. Je suis vraiment bizarre. Je pleure pour des gens dont je ne me rappelle pas. Je devais vraiment les aimer. Mais maintenant, c'est trop tard, je ne les reverrais jamais. J'en suis certaine. En mourant, j'ai laissé passer ma chance, et elle ne reviendra jamais. Je suis faible. Je suis morte, je ne me rappelle de rien, et je continue de pleurer. En quoi serais-je utile au Professeur ? Il devait être désespéré. Mais que veut-il que je fasse pour lui ? Je n'en ai aucune idée. Mais je l'ai remercier de m'avoir "sauver", mais maintenant je le déteste. J'aurais préféré mourir finalement. Je suis bête. On me donne une seconde chance, et je préfère mourir. Des millions de personnes aurait été heureux d'être à ma place, et je me pleins. Je ne mérite pas de vivre. Mais je ne veux pas revivre ça. Peut être qu'en effectuant sa mission j'aurais la possibilité de les revoir une dernière fois avant de m'en aller pour de bon ? J'espère.
Je me relève, séchant mes larmes. Je serais forte. Je ferais tout pour les revoir et leur dire adieu. Même si j'ignore leur identité, je ferais tout. Peut être que je retrouverais la mémoire, et que je saurais comment je suis morte. J'aimerais pouvoir répondre à toute ces questions sans réponses. Je regarde l'Homme en Rouge. Il doit me détester. Je me détesterais à sa place. Je m'en veux. Je devrais m'excuser. Mais devrais-je vraiment le faire ? Je ne sais même pas si je lui ai adressé la parole par gentillesse ou par pitié. Mais si je me connais bien, je l'ai fait par gentillesse puisque je n'aime pas la pitié. Mais je ne me connais pas, c'est mon plus grand problème. Je ne sais pas. Je ne fais même pas attention aux bêtises de l'idiot. Peu m'importe ce qui lui arrive. Je suis debout. Je n'ai plus de larmes sur le visage. Mais j'ai l'impression de vouloir pleurer. Je ne sais pas. Je vais m'excuser et m'éloigner. Il doit me détester.
Désolée si vous pensez que j'ai agis par pitié. Je ne pense pas. Je pense que c'était par gentillesse. Je ne sais pas. Excusez moi.
Je me suis ensuite éloignée, ne voulant l'importuné encore plus que je ne l'avais fait. Je retins mes larmes. Ces gens que j'aime ne voudrait pas me voir ainsi, j'en suis certaine. Je devais être forte. Et j'allais être forte. Je les reverrais. Je ferais tout pour que ce soit le cas. Je m'en fais la promesse. Je ferais tout. Je souris. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir, et je sais que je ne serais pas seule pour lutter. Je regardais mes bracelets. Je ne serais pas seule. Je reporta mon attention sur le professeur, attendant qu'il réponde aux questions des autres.
Beaucoup de ces hommes posait des questions. L'Homme en Rouge avait posé une question, mais ne m'avait pas répondue. Il ne m'aimait peut être pas. Pourtant, j'ai essayé d'être gentille. Peut être ne l'a t-il pas pris comme cela ? C'est vrai que je ne lui avais pas répondue immédiatement, mais le fait que l'autre homme ait parlé comme ça m'avait énervée. Était-ce la pitié qui m'avait forcé le pas ? Aucune idée. Je ne sais même plus ce que je ressens. Je suis juste triste. Très triste. Tant pis s'il ne veut pas me parler. Je l'ai peut être énervé. Je l'apprendrais peut être un jour. J'espère juste que je n'ai pas fait cela par pitié. Je n'aime pas faire preuve de pitié, ou que l'on fasse preuve de pitié envers moi. Comment puis-je en être sûr alors que je ne me rappelle de rien ? Je ne sais pas.
Je continuais de pleurer. Je suis vraiment bizarre. Je pleure pour des gens dont je ne me rappelle pas. Je devais vraiment les aimer. Mais maintenant, c'est trop tard, je ne les reverrais jamais. J'en suis certaine. En mourant, j'ai laissé passer ma chance, et elle ne reviendra jamais. Je suis faible. Je suis morte, je ne me rappelle de rien, et je continue de pleurer. En quoi serais-je utile au Professeur ? Il devait être désespéré. Mais que veut-il que je fasse pour lui ? Je n'en ai aucune idée. Mais je l'ai remercier de m'avoir "sauver", mais maintenant je le déteste. J'aurais préféré mourir finalement. Je suis bête. On me donne une seconde chance, et je préfère mourir. Des millions de personnes aurait été heureux d'être à ma place, et je me pleins. Je ne mérite pas de vivre. Mais je ne veux pas revivre ça. Peut être qu'en effectuant sa mission j'aurais la possibilité de les revoir une dernière fois avant de m'en aller pour de bon ? J'espère.
Je me relève, séchant mes larmes. Je serais forte. Je ferais tout pour les revoir et leur dire adieu. Même si j'ignore leur identité, je ferais tout. Peut être que je retrouverais la mémoire, et que je saurais comment je suis morte. J'aimerais pouvoir répondre à toute ces questions sans réponses. Je regarde l'Homme en Rouge. Il doit me détester. Je me détesterais à sa place. Je m'en veux. Je devrais m'excuser. Mais devrais-je vraiment le faire ? Je ne sais même pas si je lui ai adressé la parole par gentillesse ou par pitié. Mais si je me connais bien, je l'ai fait par gentillesse puisque je n'aime pas la pitié. Mais je ne me connais pas, c'est mon plus grand problème. Je ne sais pas. Je ne fais même pas attention aux bêtises de l'idiot. Peu m'importe ce qui lui arrive. Je suis debout. Je n'ai plus de larmes sur le visage. Mais j'ai l'impression de vouloir pleurer. Je ne sais pas. Je vais m'excuser et m'éloigner. Il doit me détester.
Désolée si vous pensez que j'ai agis par pitié. Je ne pense pas. Je pense que c'était par gentillesse. Je ne sais pas. Excusez moi.
Je me suis ensuite éloignée, ne voulant l'importuné encore plus que je ne l'avais fait. Je retins mes larmes. Ces gens que j'aime ne voudrait pas me voir ainsi, j'en suis certaine. Je devais être forte. Et j'allais être forte. Je les reverrais. Je ferais tout pour que ce soit le cas. Je m'en fais la promesse. Je ferais tout. Je souris. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir, et je sais que je ne serais pas seule pour lutter. Je regardais mes bracelets. Je ne serais pas seule. Je reporta mon attention sur le professeur, attendant qu'il réponde aux questions des autres.
Luna- Messages : 54
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Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
Continuity
(La musique ne s'affiche pas ? Téléchargez-là ici : http://bluelaguna.net/downloads/mp3s/sh3ost/115+Professer+Gilbert.mp3)
...
"'Hé bien... Si j'ai des questions ? Je crois bien. Après tout, je suis mort et tu m'as sauvé d'une quelconque manière. Pourquoi ça ? Pourquoi nous as-tu sauvés ? Et surtout, Quelle est cette tâche qu'on doit accomplir ?''
... Quel flôt de questions inutiles !, se dit le professeur. Il ne fallait pas trop en attendre d'un jeune non-être, bien sûr, mais il attendait Ô combiens plus de pertinence de la part de certains d'entre eux. Chaque choses en son temps... Il analysa avec plus d'interêt – mais point estime, car tous étaient méprisables – les questions plus directes et impliquées des autres – plus impliquées car intéréssées et représentatives de leur pensées, plutôt qu'un vague marasme de questions chaotiques.
Que faisons-nous ici ?
Ah ! La question... Oui. Que faisez-vous ici ? Pourquoi suis-je ici et non là bas ? Même mort... Mais le Professeur avait déja donné un fragment de leur réponses : Il attendait d'eux qu'ils l'aident à accomplirs une tâche, ce pourquoi il a sauvé leur âmes. La question devrait plutôt êtres : "Quel est cet endroit ?"
"Je... et que nous a donc valu cet immense honneur ?"
Honneur... Oui, un grand honneur que voila, mais est-ce vraiment de l'estime de la part du Professeur méprisant et méprisable ? Avait-il véritablement besoin d'une raison pour être ici ? Il observa minutieusement chacun d'entre eux. C'était donc ça...
Et là...
... Le professeur éclata de rire ...
... Un rire long ...
... Un rire lointain ...
... Un rire irréel, car on ne comprennait pas ...
... Pas qu'on ne comprenne pas ...
... On avait l'impression ...
... Qu'il existait et n'existait pas à la fois ...
... L'on n'aurait sû décrire ce rire. Il se prolongea dans une trame de temps indescriptible au commun des mortels - déja car nos héros sont mortellement mortels et non plus simple mortels, mais aussi car il était différent pour chacun d'eux et pour vous et moi. J'ai donc entrepris de décrire ce rire, et j'en tira une conclusion tellement personelle que j'échoua à la décrire en d'autres termes que : Il ria.
Enfin, en un jour aussi différent que le même, il s'arrêta, c'était étrange, je n'aurais crû. C'était donc ça de ne pas exister. Et quand unie nous fîmes à nouveaux, la parole il prit de nouveau :
— Haaaa ! Vous la sentez ...? Cette sensation ? Celle de ne pas être de ce monde ? Celle de l'impalpabilitée d'une réalitée qui vous est inaccessible ? C'était ma... Démonstration. Maintenant vous comprennez un peu mieux. Vos réactions sont amusantes... Laissez-moi ajouter quelques-chose... Vous n'existez pas, ou plus. Vous avez basculé dans une réalitée paralèlle à la votre. A cette fin – n'avez vous pas encore remarqué ? Vous venez tous de mondes différents, et non pas du même monde. Vous êtes issus de mondes différents et de situations différentes, mais vous avez tous le potentiel... Celui que je cherche pour m'aider à mes recherches. Le potentiel d'exister. Même si à ce jour, pour moi, vous n'êtes rien... Il ne me reste qu'à forcer votre évolution. C'est urgent. Vous n'avez pas le choix.
Vous n'avez pas le choix.
Vous n'avez pas le choix.
Vous n'avez pas le choix.
Vous n'avez pas le choix.
Vous n'avez pas le choix.
... Tel quel, cela résonna dans l'esprit de chacun, parcequ'il l'avait voulu. Personne ne comprennait exactement ce qu'il se passait. Personne ne comprennait qui était cette personne exactement ni ce qu'elle voulait, et où elle voulait en venir - assumant qu'il y ai un but à cette folie. Que penser ? Que dire ? Tous étaient perturbés, ils se sentaient toujours aussi écrasé par la seule présence de l'inexorable individu, comme si il avait plus d'influence sur eux qu'ils n'en ont sur eux-même ! C'était... fou.
— Non. Ce n'est pas de la folie. C'est simplement la réalitée. Que vous le vouliez ou non... De toute façon, vous n'êtes pas capable d'assumer un choix. Mais je suppose que des explications s'imposent d'abord. Je vous laisses vous remettres... Ça ne doit pas être agréable, ce que vous ressentez, n'est-ce pas ? Hahahaha... Et est-ce que l'un d'entre-vous... A mis la main sur ce de quoi il sagit ? Je pense que cette petite démonstration – qui tient je vous l'accorde plus du surréalisme – devrait toucher sa fin ici, pour que nous allions directement au vif sujet qui nous intéresse et ce pourquoi vous êtes là. Et après un cours silence, le sourire narquoîs, il ajouta pour conclure : "Alors, quelles sont vos impressions ?"
(La musique ne s'affiche pas ? Téléchargez-là ici : http://bluelaguna.net/downloads/mp3s/sh3ost/115+Professer+Gilbert.mp3)
...
"'Hé bien... Si j'ai des questions ? Je crois bien. Après tout, je suis mort et tu m'as sauvé d'une quelconque manière. Pourquoi ça ? Pourquoi nous as-tu sauvés ? Et surtout, Quelle est cette tâche qu'on doit accomplir ?''
... Quel flôt de questions inutiles !, se dit le professeur. Il ne fallait pas trop en attendre d'un jeune non-être, bien sûr, mais il attendait Ô combiens plus de pertinence de la part de certains d'entre eux. Chaque choses en son temps... Il analysa avec plus d'interêt – mais point estime, car tous étaient méprisables – les questions plus directes et impliquées des autres – plus impliquées car intéréssées et représentatives de leur pensées, plutôt qu'un vague marasme de questions chaotiques.
Que faisons-nous ici ?
Ah ! La question... Oui. Que faisez-vous ici ? Pourquoi suis-je ici et non là bas ? Même mort... Mais le Professeur avait déja donné un fragment de leur réponses : Il attendait d'eux qu'ils l'aident à accomplirs une tâche, ce pourquoi il a sauvé leur âmes. La question devrait plutôt êtres : "Quel est cet endroit ?"
"Je... et que nous a donc valu cet immense honneur ?"
Honneur... Oui, un grand honneur que voila, mais est-ce vraiment de l'estime de la part du Professeur méprisant et méprisable ? Avait-il véritablement besoin d'une raison pour être ici ? Il observa minutieusement chacun d'entre eux. C'était donc ça...
Et là...
... Le professeur éclata de rire ...
... Un rire long ...
... Un rire lointain ...
... Un rire irréel, car on ne comprennait pas ...
... Pas qu'on ne comprenne pas ...
... On avait l'impression ...
... Qu'il existait et n'existait pas à la fois ...
... L'on n'aurait sû décrire ce rire. Il se prolongea dans une trame de temps indescriptible au commun des mortels - déja car nos héros sont mortellement mortels et non plus simple mortels, mais aussi car il était différent pour chacun d'eux et pour vous et moi. J'ai donc entrepris de décrire ce rire, et j'en tira une conclusion tellement personelle que j'échoua à la décrire en d'autres termes que : Il ria.
Enfin, en un jour aussi différent que le même, il s'arrêta, c'était étrange, je n'aurais crû. C'était donc ça de ne pas exister. Et quand unie nous fîmes à nouveaux, la parole il prit de nouveau :
— Haaaa ! Vous la sentez ...? Cette sensation ? Celle de ne pas être de ce monde ? Celle de l'impalpabilitée d'une réalitée qui vous est inaccessible ? C'était ma... Démonstration. Maintenant vous comprennez un peu mieux. Vos réactions sont amusantes... Laissez-moi ajouter quelques-chose... Vous n'existez pas, ou plus. Vous avez basculé dans une réalitée paralèlle à la votre. A cette fin – n'avez vous pas encore remarqué ? Vous venez tous de mondes différents, et non pas du même monde. Vous êtes issus de mondes différents et de situations différentes, mais vous avez tous le potentiel... Celui que je cherche pour m'aider à mes recherches. Le potentiel d'exister. Même si à ce jour, pour moi, vous n'êtes rien... Il ne me reste qu'à forcer votre évolution. C'est urgent. Vous n'avez pas le choix.
Vous n'avez pas le choix.
Vous n'avez pas le choix.
Vous n'avez pas le choix.
Vous n'avez pas le choix.
Vous n'avez pas le choix.
... Tel quel, cela résonna dans l'esprit de chacun, parcequ'il l'avait voulu. Personne ne comprennait exactement ce qu'il se passait. Personne ne comprennait qui était cette personne exactement ni ce qu'elle voulait, et où elle voulait en venir - assumant qu'il y ai un but à cette folie. Que penser ? Que dire ? Tous étaient perturbés, ils se sentaient toujours aussi écrasé par la seule présence de l'inexorable individu, comme si il avait plus d'influence sur eux qu'ils n'en ont sur eux-même ! C'était... fou.
— Non. Ce n'est pas de la folie. C'est simplement la réalitée. Que vous le vouliez ou non... De toute façon, vous n'êtes pas capable d'assumer un choix. Mais je suppose que des explications s'imposent d'abord. Je vous laisses vous remettres... Ça ne doit pas être agréable, ce que vous ressentez, n'est-ce pas ? Hahahaha... Et est-ce que l'un d'entre-vous... A mis la main sur ce de quoi il sagit ? Je pense que cette petite démonstration – qui tient je vous l'accorde plus du surréalisme – devrait toucher sa fin ici, pour que nous allions directement au vif sujet qui nous intéresse et ce pourquoi vous êtes là. Et après un cours silence, le sourire narquoîs, il ajouta pour conclure : "Alors, quelles sont vos impressions ?"
Professeur T. Esbald- Apôtre de l'Anté-Destinée
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Date d'inscription : 29/04/2010
Re: PROLOGUE - Un autre plan de la réalitée ~ Le Réveil
J'avais décidé de l'écouter. Aurais-je vraiment dû ? Je ne sais pas. Il semblait tous nous regarder. Nous fixer. Son regard faisait peur. Il faisait peur. Il n'était surement pas aussi gentil que je le croyais. Mais je n'étais pas gentille non plus. Et je ne voulais pas le juger. Mais j'avais peur. Il se mit à rire. Un rire qui faisait froid dans le dos. Un rire qui faisait peur. Un rire interminable. Son rire ... Cet homme était loin d'être normal. J'en suis sûr. Je ne suis pas normal. Mais il ne l'est pas non plus. Je ne sais pas ce qui me fait dire cela. Mais je le sais. Il est étrange. En plus, à part rire, il n'avait toujours pas répondu aux questions des autres. Finalement, je m'en fiche un peu, je n'ai pas posé de questions. Mais cet homme n'est pas normal. J'en suis certaine.
Il prend la parole. Sa voix. Je ne l'aime pas. Je commence vraiment à croire que c'est lui qui nous as tué. Mais pourquoi nous tué ? Je ne sais pas. Au lieu de me questionner, je devrais le questionner ? Non. Il ne répond pas à nos questions. Elles doivent être trop stupide pour lui. Il doit être intelligent. Ou peut être qu'il se croit intelligent. Je ne sais pas, et je pense ne pas vouloir savoir. Pourquoi je demande alors ? Je ne sais pas. Je décide d'écouter ses paroles. On est bien mort. Je suis morte. Ils sont morts. Sont-ils au courant de la manière dont ils sont morts ? Je devrais leur demander. J'aurais du le faire avant. Je préfère éviter de parler.
Cet homme est impressionnant. Sa seule présence impose le respect. Malgré son attitude, il semble être quelqu'un de ... Je ne sais pas comment le dire. Mais il est spécial. Je continue de l'écouter. Il a raison. Cette sensation que j'ai ressentie, c'est surement ce dont il parle. C'est agréable. Mais vivre est surement plus agréable. Je ne me rappelle plus. Je n'ai pas envie de me rappeler. Si je veux devenir forte et ne plus pleurer, je dois aller de l'avant, et oublier le passer. En suis-je capable ? Je n'en ai aucune idée. Je ne saurais qu'en essayant . Je veux vraiment essayer ? Je ne sais pas. Je ne saurais qu'en essayant, j'essayerais donc. Je vais oublier le passé, oublier ces personnes que j'aime, et aller de l'avant. Je les reverrais. Je ferais tout pour que ce soit le cas. Je vais l'aider. J'y arriverais. J'en suis certaine. Je ferais de mon mieux dans tout les cas.
Il continue de parler. Je l'écoute toujours attentivement. Il nous apprend qu'on vient tous de dimensions différentes. C'est pourquoi nous sommes tous différents. Tous étranges. Personne n'a l'air de se connaitre. Personne ne se connait. Il existe des tonnes de dimensions dans ce cas. Nous sommes dans une autre dimension. Est-ce la dimension du Professeur ? Si c'est le cas, je préfère ma dimension. Je n'en ai pas de souvenir. Mais je ne pense pas avoir vécu dans un monde ainsi. J'espère qu'on ne va pas rester dans cet dimension. J'espère surtout que si on y reste, tout n'est pas comme ici. J'aimerais bien aller dans ma dimension. Est-ce possible ? Je ne sais pas. Devrais-je demander ? Il ne répondra pas, c'est sûr.
Il m'a choisit car j'ai du potentiel ? Quel potentiel ? Si j'étais capable de quelque chose, je ne serais pas morte ? A moins qu'une personne avec un potentiel plus fort que le mien m'ait tué. Mais pourquoi n'a t-il pas choisi cette personne ? Peut être qu'il ne peux contacter que les âmes. Peut être nous a t-il tué afin qu'on le serve ? Je ne sais pas. Je suis trop méfiante surement. Mais je pense en avoir le droit. Dans tout les cas, si je veux ne serait ce qu'une chance de revoir les miens, même pendant un quart de seconde, je dois utiliser ce "potentiel" pour l'aider. Et puis, je n'ai pas le choix. Il l'a dit lui même. Mais je l'aurais fait quoi qu'il en soit. Je l'aiderais. Je ferais de mon mieux. Je veux les revoir et je m'en donnerais les moyens. Peut importe ce que je dois faire, je le ferais. Je les reverrais ...
Il prend la parole. Sa voix. Je ne l'aime pas. Je commence vraiment à croire que c'est lui qui nous as tué. Mais pourquoi nous tué ? Je ne sais pas. Au lieu de me questionner, je devrais le questionner ? Non. Il ne répond pas à nos questions. Elles doivent être trop stupide pour lui. Il doit être intelligent. Ou peut être qu'il se croit intelligent. Je ne sais pas, et je pense ne pas vouloir savoir. Pourquoi je demande alors ? Je ne sais pas. Je décide d'écouter ses paroles. On est bien mort. Je suis morte. Ils sont morts. Sont-ils au courant de la manière dont ils sont morts ? Je devrais leur demander. J'aurais du le faire avant. Je préfère éviter de parler.
Cet homme est impressionnant. Sa seule présence impose le respect. Malgré son attitude, il semble être quelqu'un de ... Je ne sais pas comment le dire. Mais il est spécial. Je continue de l'écouter. Il a raison. Cette sensation que j'ai ressentie, c'est surement ce dont il parle. C'est agréable. Mais vivre est surement plus agréable. Je ne me rappelle plus. Je n'ai pas envie de me rappeler. Si je veux devenir forte et ne plus pleurer, je dois aller de l'avant, et oublier le passer. En suis-je capable ? Je n'en ai aucune idée. Je ne saurais qu'en essayant . Je veux vraiment essayer ? Je ne sais pas. Je ne saurais qu'en essayant, j'essayerais donc. Je vais oublier le passé, oublier ces personnes que j'aime, et aller de l'avant. Je les reverrais. Je ferais tout pour que ce soit le cas. Je vais l'aider. J'y arriverais. J'en suis certaine. Je ferais de mon mieux dans tout les cas.
Il continue de parler. Je l'écoute toujours attentivement. Il nous apprend qu'on vient tous de dimensions différentes. C'est pourquoi nous sommes tous différents. Tous étranges. Personne n'a l'air de se connaitre. Personne ne se connait. Il existe des tonnes de dimensions dans ce cas. Nous sommes dans une autre dimension. Est-ce la dimension du Professeur ? Si c'est le cas, je préfère ma dimension. Je n'en ai pas de souvenir. Mais je ne pense pas avoir vécu dans un monde ainsi. J'espère qu'on ne va pas rester dans cet dimension. J'espère surtout que si on y reste, tout n'est pas comme ici. J'aimerais bien aller dans ma dimension. Est-ce possible ? Je ne sais pas. Devrais-je demander ? Il ne répondra pas, c'est sûr.
Il m'a choisit car j'ai du potentiel ? Quel potentiel ? Si j'étais capable de quelque chose, je ne serais pas morte ? A moins qu'une personne avec un potentiel plus fort que le mien m'ait tué. Mais pourquoi n'a t-il pas choisi cette personne ? Peut être qu'il ne peux contacter que les âmes. Peut être nous a t-il tué afin qu'on le serve ? Je ne sais pas. Je suis trop méfiante surement. Mais je pense en avoir le droit. Dans tout les cas, si je veux ne serait ce qu'une chance de revoir les miens, même pendant un quart de seconde, je dois utiliser ce "potentiel" pour l'aider. Et puis, je n'ai pas le choix. Il l'a dit lui même. Mais je l'aurais fait quoi qu'il en soit. Je l'aiderais. Je ferais de mon mieux. Je veux les revoir et je m'en donnerais les moyens. Peut importe ce que je dois faire, je le ferais. Je les reverrais ...
Luna- Messages : 54
Date d'inscription : 30/04/2010
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